Ben
oui… ça, on s’en doutait un peu en fait… Les enfants, c’est
que du bonheur, c’est de la joie à l’état pur, et c’est notre
raison de vivre quoi, normal…
Mais,
je trouve quand même un peu étrange cette volonté de toujours
faire croire aux autres que les gamins, c’est vraiment, mais
vraiment, que-du-bon-heur !
C’est
vrai quoi, les enfants, c’est vachement bien, mais faut être
réaliste aussi (promis, on ne vous dénoncera pas si vous osez dire
que parfois, vous en avez un peu ras la casquette). Les enfants, en
plus d’être que du bonheur, c’est aussi : des nuits
blanches à n’en plus finir, la fin de votre intimité aux WC, des
gribouillis sur les murs, des entorses dues aux jouets qui traînent,
des bouderies, des caprices, des « j’aime pas les câlins »
et des « je te fais pas des bisous, tu pues de la bouche* ».
Bref…
On a une sale manie quand on est infertile, c’est de voir tout ce
qui concerne les enfants en rose bonbon (ouais, ça fait choupinou le
rose bonbon !) sans y voir la moindre nuance de gris (aucun
rapport avec un certain livre porno-sado-masochiste).
Et
quand on nous dit qu’en plus : « Mes enfants sont ma
raison de vivre », ben nous, on a juste, encore plus envie d’en
avoir une aussi, de « raison de vivre »…
Note
de l’auteure : pour ceux qui n’ont pas encore d’enfant, ne
vous jetez pas sous un train ! Trouvez-vous rapidement une autre
raison de vivre, achetez un poisson rouge !
*
Cette dernière phrase est une pure invention ! Je sens
évidemment très bon de la bouche, et même de partout, d’ailleurs !
C'est ça....c'est tout à fait ça.....des raisons de vivre un peu diablotins parfois.....! !!
RépondreSupprimerEt comment ! lol
SupprimerC'est à dire que lorsqu'on a énormément bavé pour y arriver à le faire enfin, cet enfant, (je suis une ex-infertile), qu'on a enchaîné GEU, FC, PMA etc. et que cela y est, cela marche, c'est ouf, un grand soulagement. Mais après l'accouchement, ya la chute des hormones, l'angoisse qui monte, la fatigue qui s'accumule... Au début, on tient, on tient, et au bout de qq temps, on se dit : "Put... ça va être ça ma vie ? mais pourquoi je voulais tellement faire cet enfant ?". Et là, à l'instant où on le pense, on culpabilise au max... Bref, au final, une mère, ça oscille entre "pétage de plombs" ('j'en peux plus de cette vie) et "mon enfant c ma vie" (faut mieux positiver après tout, maintenant qu'on a arrivé à le faire ! ).
RépondreSupprimerC'est exactement ça :D
SupprimerHi hi!
RépondreSupprimerOk, en fait j'ai 8 chats pour me consoler de mon infertilité.
Une bonne moyenne ouais lol
Supprimeril faut être passé par l'infertilité comme nous autres pour savoir la chance d'être maman; plusieurs FIV non abouties ici pour endométriose sévère et des SOPK, ultime chance la GPA hélas impossible en France, besoinde vos expériences à propos de la GPA en Espagne avec Cryos, en Ukraine avec A. FESKOV ou au canada svp
RépondreSupprimerCryos non car p&as de GPA en Espagne, tu dois savoir que le Canada oui mais complexe et cher, république tchèque oui ou Ukraine, j'en ai entendu parler aussi, et ce témoignage que j'ai trouvé sur un forum PMA français de renom https://youtu.be/As0RZWwx0WE ! très cool ce groupe Feskov
Supprimer